Tu as transformé en capharnaüm la paisible termitière Qui se balançait calmement au rythme de ma diastole
J'ai des fourmis partout. Même dans le cerveau.
Dans le doux oasis de ton regard
Mes mots sont des nénuphars
Voguant, glissant doucement
Suivant le motif de ton sourire.
Cette aura est le zeste qui provoque mes larmes.
Ta silhouette de loin,
M'a donné un embouteillage sentimental
Délivre-moi en m'ouvrant le péage de ton attention.
Tes lettres dans le récit de mes mémoires
Porteront le chant de la gloire
A la chorale de ce qui m'obsède.
Et point ne suis-je prêt à céder.
Dans mes fantasmes, je trempe ma plume
Tu étais la mélodie errante.
Patherson
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